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22 AoûtTout savoir sur les formations

Référent handicap en entreprise : rôle essentiel et missions clés

Le référent handicap est devenu un pilier important dans les entreprises souhaitant renforcer leur inclusion. Voici ce qu’il faut savoir sur son rôle, ses attributions et les bénéfices qu’il apporte.

Qui est le référent handicap ? Est-ce obligatoire ?

Institué par la loi Avenir professionnel depuis le 5 septembre 2018, le référent handicap vise à accompagner les personnes en situation de handicap au sein des entreprises.

La désignation est obligatoire pour les entreprises de 250 salariés et plus.

Ce poste peut être occupé par tout salarié motivé, sans condition d’ancienneté ou de diplôme. L’entreprise peut le désigner sur la base du volontariat, avec un suppléant si nécessaire.

 

Quelles sont les missions principales du référent handicap ?

Le référent assume plusieurs fonctions essentielles :

Informer, orienter, accompagner
Il sert de point de contact pour les collaborateurs en situation de handicap : pour les questions administratives, les adaptations de poste, ou encore l’accessibilité.

Faciliter les liens internes et externes
Il coordonne entre les services RH, la médecine du travail, les partenaires externes (ex. : AGEFIPH) pour que les collaborateurs bénéficient d’un suivi efficace.

Piloter la politique handicap
Cela inclut la définition d’objectifs (recrutement, maintien dans l’emploi), le suivi des indicateurs pertinents, le reporting, et le respect des obligations légales comme l’OETH (Obligation d’Emploi des Travailleurs Handicapés).

Sensibiliser et communiquer
Il contribue à changer les mentalités dans l’entreprise : sensibilisation des équipes, actions de communication, événements internes pour promouvoir l’inclusion.

Veille réglementaire
Le domaine du handicap est encadré légalement et évolue souvent : le référent doit se tenir informé des obligations, des dispositifs nouveaux, des bonnes pratiques.

Pourquoi instituer un référent handicap ?

  • Renforcement de l’inclusion et du bien-être des collaborateurs.
  • Réduction des risques de discrimination ou de non-conformité légale.
  • Attraction et fidélisation des talents, notamment ceux en situation de handicap.
  • Amélioration de l’image et de la responsabilité sociale de l’entreprise.
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17 JuilTout savoir sur les formations

Les troubles « Dys » : comprendre pour mieux accompagner

Qu’est-ce que les troubles « Dys » ?

Les « troubles Dys » sont des troubles spécifiques et durables des apprentissages et du langage, d’origine neurobiologique. Ils n’affectent pas l’intelligence globale ni les fonctions sensorielles primaires (vue, audition) mais concernent des compétences précises comme la lecture, l’écriture, le calcul, le langage oral ou encore la motricité.

Quels sont les troubles Dys ?

  • La dyslexie (lecture)
  • La dysorthographie (orthographe)
  • La dyscalculie (chiffres, calculs)
  • La dysphasie (langage oral)
  • La dysgraphie (difficultés d’écriture liées à la forme, à la vitesse, à la lisibilité)
  • Le trouble déficitaire de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H), souvent associé à un ou plusieurs autres troubles Dys.

Fréquence et impact

On estime que 5 à 6 % des enfants sont concernés par au moins un trouble Dys.
Ces troubles peuvent générer des difficultés scolaires conséquentes s’ils ne sont pas repérés et accompagnés : fatigue, perte de confiance, résultats instables selon les matières.

Comment repérer et diagnostiquer ?

Les signaux d’alerte peuvent varier selon le type de trouble, mais voici quelques indicateurs fréquents :

  • Lenteur ou difficulté à lire/relier les mots (dyslexie)
  • Erreurs orthographiques persistantes même après l’apprentissage des règles (dysorthographie)
  • Difficultés à comprendre ou s’exprimer oralement (dysphasie)
  • Mauvaise coordination motrice, maladresse, difficultés pour les gestes précis ou écriture fluide (dyspraxie/dysgraphie)
  • Difficultés persistantes de calcul ou de compréhension des nombres ou opérations (dyscalculie)
  • Problèmes d’attention ou d’organisation, distraction, difficulté à maintenir la concentration (TDA/H).

Le diagnostic est généralement pluridisciplinaire : médecin, orthophoniste, psychomotricien, neuropsychologue…

Stratégies d’accompagnement et aménagements

  • Aménagements pédagogiques : supports visuels, consignes simplifiées, temps supplémentaire, utilisation d’outils numériques, police lisible, photocopies adaptées.
  • Adaptations des évaluations : oraux plutôt qu’écrits, modalités alternatives, correction tolérante des fautes non essentielles.
  • Renforcement des compétences spécifiques via des remédiations : orthophonie, ergothérapie, psychomotricité.
  • Sensibilisation de l’entourage éducatif : enseignants, formateurs, parents afin de comprendre le fonctionnement des Dys, ajuster les attentes et le rythme.
  • Encourager l’estime de soi, valoriser les progrès, éviter les comparaisons, reconnaître les talents complémentaires.

Pourquoi c’est utile d’en parler dans un centre de formation ?

  • Permettre une meilleure insertion et réussite des apprenants concerné·es.
  • Adapter les modalités de formation (supports, rythme, méthodes) pour atteindre toutes et tous.
  • Se conformer aux obligations légales et aux principes d’égalité des chances.
  • Développer une culture inclusive, ce qui valorise la réputation de votre structure de formation.
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16 JuinTout savoir sur les formations

Faut-il encore évaluer la formation professionnelle en 2025 ?

📌 Pourquoi l’évaluation en formation est-elle remise en question ?

 

Cet article est inspiré d’une réflexion pédagogique publiée par un acteur engagé du secteur de la formation professionnelle (AFFEN – mai 2025), tout en mettant en lumière notre propre approche terrain chez SG FORMATION.

Pendant longtemps, évaluer une formation revenait à mesurer la présence des stagiaires, le taux de satisfaction, ou encore à justifier le financement (notamment via les OPCO ou le CPF).

Mais en 2025, la question se pose autrement : 

Evaluer, oui… mais pour quoi faire ?

La tendance actuelle, portée par des acteurs de la formation, propose une évolution majeure : passer d’une logique de traçabilité à une logique d’utilité.

 

Évaluer pour progresser, pas juste pour cocher une case


Dans son article de mai 2025, Stéphane Diebold (président de l’AFFEN) rappelle l’importance de repenser l’évaluation autour de 3 piliers pédagogiques :


1.  Des modèles d’évaluation à réactiver

Des références comme la taxonomie de Bloom, le modèle de Kirkpatrick ou encore le ROI de Phillips permettent de mesurer :

    • les connaissances acquises (savoir)

    • les comportements adoptés (savoir-être)

    • les résultats concrets sur le terrain (savoir-faire)
 

2.  Impliquer l’apprenant dans sa propre évaluation

L’auto-évaluation, les bilans de mi-parcours, les feedbacks à chaud… sont autant de leviers pour :

    • responsabiliser le stagiaire

    • renforcer son sentiment d’évolution

    • ajuster le parcours si besoin
 

3.  Mesurer l’impact dans la durée

L’objectif n’est plus seulement de “former”, mais de transformer :

    • une posture professionnelle

    • une maîtrise d’outil numérique
    • un nouveau comportement managérial
 

Comment SG FORMATION intègre cette approche moderne de l’évaluation


Chez SG FORMATION, organisme certifié Qualiopi, nous avons repensé l’évaluation comme un véritable levier pédagogique, et non un simple outil administratif.


✔️ Une pédagogie active et personnalisée

Chaque stagiaire est impliqué dès le départ dans la construction de son parcours. L’évaluation devient un fil rouge au service de son engagement.


✔️ Des feedbacks réguliers, utiles et bienveillants

Nous pratiquons des points d’étape à mi-parcours, des grilles de progression simplifiées, et des bilans partagés avec le formateur pour identifier les vrais acquis.


✔️ Des compétences visibles et activables sur le terrain

Ce qui compte pour nous, c’est ce que l’apprenant est capable de faire après la formation, pas juste ce qu’il a entendu pendant.

 

Conclusion : évaluer autrement pour mieux accompagner

Oui, il faut encore évaluer la formation.
Mais mieux, plus intelligemment, et surtout au service de l’apprenant.

Vous êtes une entreprise, un salarié, un indépendant, et vous souhaitez que la formation vous serve vraiment à avancer ?

 

Faites appel à SG FORMATION !

Chez SG FORMATION, nous formons chaque année des centaines de professionnels sur des compétences clés :

    • Outils numériques : WordPress, Canva, Excel, CapCut

    • Soft-skills : gestion du stress, communication, estime de soi

    • Langues : anglais, espagnol, LSF

    • Certifications : TOSA, ICDL, TOEIC…

📍 En présentiel ou à distance, en solo ou en groupe, nous créons des parcours adaptés à vos besoins réels, et mesurés par des résultats concrets.

📩 Contactez-nous pour un devis gratuit ou un appel conseil → www.sg-formation.fr


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28 MaiTout savoir sur les formations

Formation en entreprise : que nous révèle l’année 2025 ?

Le baromètre Askalia 2025 met en lumière les pratiques et défis de la formation professionnelle en entreprise.

Les chiffres clés à retenir

  • 71,5 % des salariés formés chaque année.
  • Le budget formation représente 3,7 % de la masse salariale.
  • 12 % des entreprises n’ont pas de budget dédié.

Points forts et limites

  • Les responsables formation sont des acteurs centraux, mais manquent parfois de latitude budgétaire.
  • La digitalisation progresse, mais la satisfaction vis-à-vis des outils RH reste faible (5,4/10).
  • Qualiopi est vu comme une garantie qualité, mais son impact sur l’évaluation des compétences reste limité.

Enjeux pour demain

Les entreprises doivent :

  • Simplifier l’accès aux dispositifs (CPF, alternance, VAE).
  • Renforcer l’évaluation d’impact des formations.
  • Investir dans des outils digitaux réellement adaptés.

La formation reste un levier stratégique de performance et d’attractivité, à condition de mieux intégrer les responsables formation dans la stratégie globale.

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12 MaiTout savoir sur les formations

La réforme du financement de l’apprentissage : ce qu’il faut retenir

À compter du 1er juillet 2025, le financement de l’apprentissage en France connaîtra d’importants changements pour renforcer l’insertion des apprentis, rendre le système plus juste et assurable financièrement.

Les objectifs principaux

Prioriser les financements selon les besoins du marché du travail

  • Renforcement du rôle des branches professionnelles pour décider quelles formations nécessitent davantage de soutien.
  • Soutien accru aux premiers niveaux de qualification, jugés cruciaux pour l’insertion professionnelle.

Assurer la soutenabilité financière du système

  • Adapter les financements aux coûts réels des formations, éviter les financements excessifs.
  • Responsabiliser les employeurs (ex : participation obligatoire pour les apprentis de niveau 6 et plus).
  • Harmoniser les niveaux de prise en charge entre formations similaires, simplifier les modalités.

Principales mesures

Le référent assume plusieurs fonctions essentielles :

Participation obligatoire des employeurs pour les apprentis niveau 6 et 7 (BAC+3 et plus)
Contribution de 750 € par contrat ; CFA·s chargés du recouvrement.

Minoration des financements pour les formations avec plus de 80 % de modalité à distance
Réduction de 20 % de la prise en charge pour ces formations.

Proratisation des niveaux de prise en charge selon durée réelle du contrat
On ne paie plus sur des durées fictives, mais au plus juste.

Réduction des trop-perçus
Introduction d’un solde de 10 % sur le troisième versement pour éviter des paiements excédentaires.

Convergence des coûts pour formations similaires
Même niveau de prise en charge pour certifications préparant à des métiers identiques ; plafonnement étendu.

Ce que cela change pour les CFA, entreprises et apprentis

  • Pour les CFA : obligation de revoir leur modèle économique, optimiser les coûts, garantir la conformité des prestations ; une forte motivation à améliorer la qualité pédagogique pour rester financés.
  • Pour les entreprises : responsabilité accrue, surtout pour les contrats de niveau supérieur (niveaux 6-7) avec la contribution obligatoire ; sélection plus fine des formations financières selon leur utilité.
  • Pour les apprentis : meilleure sécurité de parcours, meilleure information en amont, mais aussi possible impact sur le choix des formations selon les ressources allouées et les priorités des branches.
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17 MarTout savoir sur les formations

Prévenir les risques liés au travail sur écran

Avec la progression continue des outils numériques et le développement du télétravail, nombreux sont les salariés qui passent une grande partie de leur journée devant un écran. Cette situation peut entraîner divers troubles (musculosquelettiques, fatigue visuelle, stress…) et impacter tant la santé que la performance. En tant que centre de formation ou entreprise, voici ce qu’il est essentiel de savoir et de mettre en place pour agir efficacement.

Pourquoi le travail sur écran peut poser problème ?

Quelques-uns des effets potentiels lorsque le temps passé devant un écran est important :

  • Troubles musculosquelettiques (TMS), liés à des postures statiques ou des gestes répétitifs.
  • Fatigue visuelle : yeux fatigués, sécheresse, troubles de la vision en fin de journée.
  • Stress, surcharge mentale, notamment quand le travail est intensif ou sans pauses.
  • Effets liés à l’organisation ou au style de travail : manque de pause, absence de variation des tâches, tâches très répétitives.

Les facteurs de risque à surveiller

Plusieurs dimensions contribuent au risque, notamment :

  • Biomécanique : posture assise prolongée, écran mal positionné, mobilier inadapté, gestes répétitifs.
  • Physiologique : faible dépense énergétique, tensions musculaires, fatigue générale.
  • Organisationnelle : durée de l’exposition, pauses insuffisantes, intensité de travail, nature des tâches.
  • Psychosociale : stress, charge cognitive, pression temporelle, inconfort lié à l’environnement physique.

Les leviers d’action à mettre en place

Voici des pistes concrètes pour réduire ces risques dans votre structure de formation ou entreprise, pour la santé de vos équipes :

  • Aménagement du poste de travail : siège ergonomique, écran réglable, clavier/souris adaptés, bon éclairage, éviter les reflets.
  • Choix du matériel : investir dans un mobilier et des dispositifs adaptés (support écran, repose-poignets, souris ergonomique, etc.).
  • Organisation du travail : temps de pause réguliers, varier les tâches, permettre de changer de posture, limiter les sessions prolongées devant écran.
  • Formation & sensibilisation : informer les collaborateurs sur les postures idéales, les bonnes pratiques pour limiter la fatigue, les pauses actives.
  • Evaluation des situations de travail : identifier les postes à risque et adapter les mesures en fonction des profils des salariés.

Ressources utiles et supports

L’INRS propose plusieurs outils utiles pour aider les entreprises et organismes comme le vôtre :

  • Guide pratique : propose des recommandations concrètes pour aménager les postes, choisir du matériel adapté, organiser le temps de travail.
  • Affiches de sensibilisation : plusieurs visuels récents pour encourager de bonnes pratiques (changer de posture, faire des pauses, …).
  • Brochures et dépliants sur des sujets complémentaires : télétravail, dispositifs de pointage, risques visuels.

Ce que cela implique pour un centre de formation

Pour vous, formateurs ou gestionnaires d’un centre de formation, ces éléments sont cruciaux :

  • Inclure dans vos modules ou vos formations une partie sensibilisation aux bonnes postures, aux pratiques ergonomiques devant écran.
  • Évaluer les salles de travail et les équipements que vous mettez à disposition des stagiaires ou personnels.
  • Mettre en place des pauses programmées dans les plannings de formation, des exercices simples pour relâcher les tensions.
  • Former vos formateurs pour qu’ils repèrent les signaux de fatigue visuelle ou musculaire chez les apprenants, pour qu’ils puissent adapter le rythme.

Conclusion

Le travail prolongé devant l’écran n’est pas une fatalité. Avec une bonne organisation, du matériel adapté, une sensibilisation effective, et une évaluation des pratiques de travail, il est possible de réduire significativement les risques pour la santé. En tant que centre de formation, vous avez un rôle central non seulement dans votre propre organisation, mais aussi dans le comportement que vous transmettez à vos stagiaires. Une prévention bien pensée = plus de bien-être, moins d’absentéisme, et une meilleure efficacité collective.

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12 FévTout savoir sur les formations

Top 10 des outils IA pour la formation

L’IA bouleverse la formation professionnelle. Le Top 10 proposé par Sydologie met en avant des outils variés (création de contenus, vidéos, graphisme, chatbots), mais qu’en est-il du contexte français ?

Tendances clés en France

  • 80 à 90 % des étudiants utilisent déjà ChatGPT ou équivalent.
  • 77 % des organismes de formation recourent à l’IA pour créer des contenus pédagogiques.
  • 80 % des enseignants n’ont pas encore été formés à l’IA.
  • Les DRH voient l’IA générative comme un levier majeur d’acquisition de compétences.

Les usages les plus marquants

  • Création de contenus (Claude, Gamma, Nolej) : gain de temps et supports interactifs.
  • Audiovisuel (Heygen, Lumen5, Whisper) : vidéos et podcasts immersifs.
  • Graphisme & visuels (Canva IA, Seelab) : infographies et supports engageants.
  • Personnalisation (ChatGPT custom, Chatbase) : parcours adaptés aux besoins.

Enjeux pour les entreprises et organismes de formation

  • Former les formateurs à ces nouveaux outils.
  • Garantir la conformité RGPD et la qualité pédagogique.
  • Miser sur des outils francophones ou sécurisés pour rassurer.
  • Utiliser l’IA comme complément à l’humain, et non comme substitut.

Bien intégrée, l’IA permet aux organismes de formation de gagner en efficacité, personnaliser l’apprentissage et améliorer l’expérience apprenant.

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